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 un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité ► juliet

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Clelie Carnigan
Clelie Carnigan
› célébrité : holland roden
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MessageSujet: un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité ► juliet   un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité ► juliet EmptyMer 20 Aoû - 12:47

un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité
avec les deux plus belles, Juliet & Clelie
--------------------
Début de matinée. Le soleil commençait doucement son ascension et la douce fraîcheur matinale incitait les oiseaux à sortir de leur nid et voleter doucement au rythme du vent. Leur pépiement cristallin résonnait à travers la vitre de la boutique. Quand Clelie était arrivée ce matin-là, il faisait encore presque nuit et pas un chat ne rodait dans les rues. La jeune femme n'avait pas réussi à fermer l'œil de la nuit et vers six heures moins le quart, il lui avait paru plus judicieux de se lever et de tenter d'occuper son temps et son esprit. Elle avait marché quelques minutes dans les rues avant de se résoudre à se rendre à la boutique. Autant affronter le taureau par les cornes que repousser encore l'inévitable.
En arrivant, elle avait commencé par récupérer toutes les factures impayées cachées dans un tiroir dont elle seule avait la clé — qu'elle gardait jalousement autour du cou, Juliet pensait que c'était la clé de son journal intime, du moins Clelie lui avait-elle fait croire. Sa meilleure amie ne regardait jamais tout ce qui concernait la comptabilité et la maniaque Clelie ne l'aurait de toute façon pas laisser faire, elle aimait trop que les choses soient faites à sa façon. Mais qu'elle était sa façon maintenant ? Faire couler la boutique dans laquelle elles avaient tant investi ? Clelie ne se sentait plus digne de la tâche qui lui était attitrée. Elle avait étalé toutes les factures devant elle et devant l'ampleur des dettes à payer, elle s'était cachée le visage avec les mains, espérant que lorsqu'elle ouvrirait les yeux, tout aurait disparu. Mais ce n'était pas aussi simple que ça et quand Clelie avait entendu sa meilleure amie arriver, elle avait tout rassemblé, rangé et s'était emparée du livre de comptes pour faire illusion lorsque sa meilleure amie était entrée.
Tous les jours, elle se demandait quoi faire. Il lui fallait trouver une solution pour arranger les choses mais laquelle ? Elle ne pouvait pas se permettre d'impliquer Juliet, cette dernière avait déjà bien trop de souci à se faire pour devoir en plus s'inquiéter de l'avenir de la boutique. C'était le rôle de Clelie, à elle de faire en sorte que ce problème fût loin derrière elle. « Tout va bien Clelie ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette. » La jeune femme fut tirée de ses pensées par Mrs Newman, une quinquagénaire qui venait tous les matins les gratifier de sa présence. Clelie aimait bien discuter avec elle et connaissait une bonne partie de sa famille. « Oui tout va bien, j'ai l'air si mal que ça ? » Mrs Newman lui offrit un sourire de connivence. Il lui arrivait parfois d'être énigmatique ce qui agaçait Clelie lorsqu'elle était de mauvaise humeur. Elle aimait que les choses soient dites franchement et y aller par quatre chemins n'était pas sa façon habituelle de procéder. « Tu nettoies ma table depuis deux minutes déjà. Même venant de toi, c'est surprenant. Elle doit être parfaitement propre maintenant. » Mrs Newman n'ajouta rien mais Clelie savait ce qu'elle pensait. Lorsqu'elle était ainsi, l'explication s'avérait très simple : elle était soit énervée, soit soucieuse. Ou les deux à la fois.
Elle regarda son torchon entre les mains comme si elle le voyait pour la première fois et crut bon de présenter ses excuses avant de rejoindre la caisse. Mrs Newman n'avait sans doute pas cru son explication. La fatigue ne pouvait rien justifier, pas dans le cas de Clelie en tout cas. Elle se passa vivement la main sur le visage avant de sortir son portable. Elle espérait avoir des nouvelles de Adriel qui était parti depuis plusieurs jours mais il n'y avait rien. Son petit ami était le seul qui était au courant de tout mais depuis quelques temps, il ne lui apportait plus le soutien dont il avait besoin. Il n'y avait rien. Pas un message, pas un appel. Rien. Clelie soupira avant de ranger son portable. Elle allait devoir faire sans. Surtout que Juliet venait d'arriver près d'elle et que l'air qu'elle arborait ne lui disait rien qui vaille.
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Juliet Sheeran
Juliet Sheeran
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› études/job : co-propriétaire du sugar clourd et pâtissière en chef
› to do list : vendre les affaires du démon sur ebay et à bon pris pour m'acheter le reste des disney qui me manquent + bousiller une ampoule de la voiture de clelie et aller chez monsieur sexy garagiste + essayer d'obtenir des informations compromettantes sur oliver par seth. + voir avec clelie pourquoi nos fournisseurs m'envoie balader au téléphone. + aller voir maman avec mes nouveaux cupcakes. + penser à rajouter du savon dans la prochaine soupe froide... caparcho c'est ça ? de monsieur arrogant. + ne plus répondre aux appels de ses vautours.

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MessageSujet: Re: un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité ► juliet   un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité ► juliet EmptyDim 31 Aoû - 11:50

un beau mensonge vaut mieux qu'une triste vérité
tu ne m'as pas menti, tu as juste omis les détails
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La sensation d’être la corde d’un arc qu’on tend jusqu’à la rupture, voilà ce que ressentait Juliet à cet instant. Et pour une fois ce n’était pas Oliver qui tirait sur cette corde et encore moins les rapaces de l’hôpital, mais bel et bien ses fournisseurs. « Ce que je veux c’est simple, que vous m’expliquiez pourquoi vou… » Le bip assourdissant retentit une nouvelle fois à son oreille. Elle en éprouvait une certaine nausée d’énervement. Son estomac qui se tournait encore et encore dans le creux de son ventre était un très mauvais signe. Le signe que tout allait mal, ou allait tourner mal. Juliet avait cette option dans son instinct féminin. Elle balança le pauvre et innocent combiné loin d’elle en un grognement assourdissant. Elle désirait hurler, mais le faire dans sa cuisine où les échos étaient facilement invités allait plus lui provoquer une migraine que l’aider à résoudre son problème actuel. Tous et sans aucune exception ses fournisseurs lui raccrocher au nez en accompagnant d’insultes dès qu’elle avait prononcé le nom de sa boutique. Ça allait bien un ou deux, mais cinq à la suite l’avaient rendu plus que volcanique. D’un côté elle aurait voulu qu’Oliver soit là pour qu’elle puisse s’en servir de punchingball humain, au moins le reste de ses années d’entrainements de boxe aurait pu servir à faire baisser sa jauge d’énervement. Malheureusement pour Juliet, le ténébreux Richmond n’avait pas pointé son horrible face séductrice à la boutique. Elle s’ébouriffa les cheveux en lâchant un autre grognement avant de sortir de la cuisine. Depuis son arrivée la sonnette de la boutique n’avait pas énormément retenti comme depuis un certain temps. La salle était quasiment vide quand Juliet l’inspecta d’un regard colérique. Elle s’avança et grimpa sur le comptoir  pour s’y installer confortablement au côté de sa rouquine. « On peut savoir ce que les gens ont dans le cul aujourd’hui ? Non mais c’est vrai quoi ! Ce n’est pourtant pas la journée du raccrochage au nez. » Elle fulminait toute seule. Ses pieds se balançaient dans le vide, comme pour essayer de la détendre, seulement rien n’y faisait. Elle n’arrivait pas à ravaler cette boule de fureur coincée dans la gorge qui avait fait monter le taux de décibels dans sa voix. Elle tenta de se faire une queue de cheval mais abandonna vite l’idée. Elle sauta sur ses pieds et s’installa coude sur le comptoir en face d’elle et menton posé sur ses mains. « C’est vrai quoi, je ne suis pas méchante au téléphone. » Elle tourna rapidement son regard sur sa meilleure amie le temps de lui poser une question. « Je suis hargneuse au téléphone selon toi ? » Son attention se reporta aussitôt sur la salle quasiment vide. « Nah mais attends je dis « bonjour, comment allez-vous, merci » tout de le temps. Je suis pas mal polie ? Je suis mal polie selon toi ? » Elle reporta son attention sur Clelie qui était restée silencieuse jusque-là. « Sois franche Clelie je te saoule avec mes états d’âme ou il se passe quelque chose dont tu meurs d’envie de partager à ta furie d’amie du nom de Juliet, c’est ainsi dire moi. » Elle lui offre un sourire amusé. Juliet était comme ça. Furie à un moment, normale le moment d’après, prête à s’amuser. Seulement la réceptivité de Clelie laissait légèrement à désirer ce jour-là.
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