Oliver Richmond › célébrité : Ben Barnes › messages : 73 › âge : vingt-neuf ans › études/job : chef cuisinier étoilé, exerçant au Blue Lagon, restautant appartenant à sa famille. › to do list : remplir le frigo + récupérer la veste et le bouquin piqués par Juliet avant qu'elle les mette sur ebay + appeler Dianna + aller nager + mettre dans le savon de Juliet du carpaccio aux crevettes qu'elle déteste tant
| Sujet: réveille moi avant que tu partes, partes. (ollie) Lun 18 Aoû - 15:07 | |
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richmond, oliver Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier. images @jennyspring.tumblr - woody allen 29 years-old chef cuisinier étoilé au blue lagon statut $$$$ caramel macchiato
----------♢----------nom, prénom(s) : Richmond, Oliver Rhett date et lieu de naissance : sept avril 1985 âge : vingt-neuf ans nationalité et origines : américain, doté d'une vague ascendance anglaise. métier/études : chef cuisinier étoilé, à l'impressionnant palmarès malgré son jeune âge, au Blue Lagon, restaurant appartenant à sa famille. orientation sexuelle : hétérosexuel statut amoureux : célibataire au goût prononcé pour le flirt et les tâches de rousseur, au coeur un peu occupé. situation familiale : cadet d'une fratrie de deux garçons et une fille, issu d'une famille trop riche et puissante pour son bien, ayant grandi dans la culture d'une compétition entre lui et son aîné. Regrettant ce monde qu'il n'a pas choisi, il s'est enfui du domicile familial, pour finir par se rendre compte qu'on n'échappe jamais réellement à son sang. caractère : charmeur - belliqueux - fêtard - insouciant - de mauvaise foi - têtu - tactile - attentionné - loyal - déterminé - passionné - chaleureux - grande gueule - drôle. avatar : Ben Barnes + a piece of me Ayant grandi dans un monde tout en marbre et en grandes baies vitrées, il n’a jamais vu un de ses parents toucher un ustensile de cuisine de toute sa vie. Si ça avait été le cas, il n’aurait probablement jamais attrapé le virus de la cuisine, car il s’est toujours attaché à n’être en rien comme ses géniteurs. C’est son grand-père, plein de malice et de fantaisie, qui avait la délicatesse entre les mains dès qu’il se mettait aux fourneaux de l’hôtel, qui lui a transmis ce qui est devenu plus qu’une passion, mais le point central de sa vie actuelle. Ollie pouvait passer des heures entières, assis sur un tabouret, les pieds balançant dans le vide, à scruter le moindre geste du vieil homme à qui le temps n’avait rien ôté du talent. ┼ Il a du mal à assumer pleinement son nom de famille et ce qu’il représente. Ollie n’est pas ingrat, il sait que c’est cette même ascendance qui lui garantit un niveau de vie plus qu’enviable, et d’avoir pu suivre le parcours qui lui plaisait. Il a pu se sortir de nombreuses galères en expliquant simplement qui il était, et a eu l’occasion de toujours n’en faire qu’à sa tête, peu importe les conséquences, pour la même raison. Et pourtant, s’il n’était pas né Richmond, il ne l’aurait pas regretté une seule seconde. ┼ Grâce au portefeuille plus que garni de ce cher papa, Ollie a eu la chance de faire une école prestigieuse d’hôtellerie à San Francisco après le lycée. Secrètement, son père a fait exprès de l’envoyer à l’école la plus difficile du pays, certain qu’il allait finir par échouer, se lasser et choisir de rentrer dans les rangs. Malheureusement, Oliver ne s’en est pas seulement sorti haut la main, il s’est véritablement révélé. Suivant la remise de son diplôme, il a passé un an à Londres, en tant que commis dans un palace, cherchant à obtenir ses gallons dans le métier. Cette année loin de la Californie lui a été extrêmement bénéfique, lui permettant de remettre les choses en perspective et, tout en apaisant ses instincts de rébellion, confirmèrent son choix de carrière. Depuis, il est revenu à Oak Creek et officie au Blue Lagon, sur les traces de son grand-père, endroit qui lui a valu en quelques années sa reconnaissance nationale. ┼ Pour sa première fois, il avait quinze ans. Ses parents étaient partis prendre le soleil à Cabo, laissant la maison sous la responsabilité de leur aîné, Arthur, qui en a profité pour convertir la terrasse en concours de t-shirt mouillé le temps d’un week-end. C’était avec sa petite amie de quelques jours à peine, qu’il avait invité. Le lendemain, elle lui dit qu'elle l'aimait. Il essaya de l’aimer aussi, vraiment, mais il n’y parvint pas. Il l’aimait bien, mais moins que la crème glacée au citron, que sa petite sœur, ou que le clip Black or White de Michael Jackson. Ça a lancé le schéma pour la plus grande partie de sa vie. Il préférait le contact charnel aux sentiments, et au sexe il préférait encore la chasse. Passer une soirée à essayer d’obtenir un numéro de portable sur le bout d’une serviette, par pure obstination, pour finir par jeter celle-ci; car une fois le jeu gagné, le prix avait peu d’intérêt. Il est tombé amoureux une seule fois, du moins il le pense. C’était à Londres, une anglaise à l’accent chantant, qui était une cliente habituelle du restaurant où il travaillait. Elle lui a donné son numéro sans qu’il n’ait eu à fournir beaucoup d’efforts, et il l’a gardé. Précieusement. Elle passait le week-end entier dans le canapé de son appartement de SoHo, et il ne se lassait jamais de la voir. Elle le faisait rire et elle se pâmait devant tout ce qu’il cuisinait. Etait-ce vraiment de l’amour ? Il le pense sincèrement, mais n'en est pas absolument sûr. Car le départ ne fut pas déchirant. Un peu douloureux, peut-être, mais pas bouleversant. Un baiser sur le quai de l’aéroport, et il était déjà loin. Le premier mois de retour chez lui, il pensait à elle souvent, et puis le souvenir s’est émoussé comme un rêve qui ne laisse pas d’images, seulement une impression générale. Ils sont toujours en contact, via Facebook, se donnant des nouvelles de leur vie respective sans ambiguïté. C’était il y a six ans, et dans ce laps de temps, le cœur d’Ollie, qui semble ne se manifester qu’une fois la décennie, n’a pas fait de remous. Depuis peu de temps, toute cette sérénité s’est vue détruire par un petit monstre le plus mignon qui soit, au rire communicatif et aux traits parfaits. C’aurait pu être supportable, s’il n’avait pas eu la poisse de vivre avec le démon en question. ┼ Son métier lui permet un rythme de vie qui autorise pas mal de dérives. Habitué, par ses heures de travail, à se coucher tard et rattraper son sommeil dans la matinée, il en profite pour tester allègrement tous les clubs et bars de la ville avec une poignée de potes increvables. Et quand il se sent casanier, il peut compter sur n’importe lequel de ses amis et amies pour débarquer dans la villa avec de l’alcool et de l’humour, lui se chargeant naturellement de réconforter les estomacs de ses invités impromptus. Cette habitude a bien sûr le don de faire enrager Juliet, qui essaie d’entendre la voix du présentateur télé au dessus des rires fusant depuis la cuisine, où Ollie perfectionne ses petits plats et les fait goûter à son public alcoolisé, alliant l’utile à l’agréable. ┼ Depuis tout petit, il aime la musique. Ayant récupéré une guitare dans les affaires de son oncle décédé, à l’âge de 10 ans, il a utilisé sa ténacité pour acquérir rapidement un talent dans le domaine. Autodidacte pendant plusieurs années, sa mère s’est rendue compte qu’il s’en sortait très bien et l’a donc inscrit à des cours de solfège et de guitare, espérant ainsi canaliser mieux l’énergie débordante de son fils. Il n’a tenu le coup que quelques années, préférant décidément ses séances d’entrainement seul. Il joue régulièrement, pour d’autres ou pour lui, appréciant le contact des cordes sous son doigt avec un respect tout particulier pour cet oncle, qu'il n'a pourtant presque pas connu. ┼ Fêtard, honnête, débordant d’idées, il s’est bien démarqué de ce que son éducation a tenté de faire de lui, un hypocrite de conventions. Pourtant, s’il y a une chose dont il ne peut se débarrasser, c’est les bonnes manières, presque excessives, qu’il a assimilées depuis son plus jeune âge. Ollie prendra des nouvelles de votre tante qui avait un rhume le mois dernier, vous tirera la chaise pour vous aider à vous asseoir et vous raccompagnera chez vous, attendant que votre silhouette se soit engouffrée à l’intérieur pour s’en aller à son tour. Ce qui lui confère, bien malgré lui, un certain intérêt auprès des femmes. Ce trait de caractère, au début de sa colocation, lui offrait un véritable désavantage dans la guerre ouverte, car il s’était attaché au fait de toujours être galant envers une femme, même si celle-ci tient quelque peu du démon. Depuis, bien qu’on ne puisse jamais réellement effacer les certitudes, ses manières ne sont plus aussi parfaites qu’elles l’étaient. ┼ Il a une faiblesse : les épaules. Pas les siennes, non, celles des filles. Bustiers, hauts sans manches et maillot de bains signent sa perte. Car même si ses yeux se laissent attirer par toutes les courbes qui plaisent aux hommes, de jolies épaules dénudées lui font perdre toute concentration. Il n’a jamais su s’expliquer ce phénomène. ┼ On se fait sa propre famille, il en est persuadé. Car même s’il partage de l’ADN avec quelques unes des personnes qu’il aime le moins sur cette planète, il met un point d’honneur à passer outre. Son meilleur pote, son cercle d'amis intime, sa petite sœur, de qui il est toujours resté proche, même ces plaies de Juliet et Clélie qui font de sa vie un enfer, cet enfer coloré et amusant est tellement désirable comparé à l’ambiance de tyrannie imposée par son père et son grand frère. ┼ Il se maintient en forme en allant nager presque quotidiennement. Quand la mer est si proche, ce serait un délit de ne pas en profiter. Idéalement, à la tombée de la nuit, ce qui n’est malheureusement pas toujours possible en fonction de ses horaires. A la lumière de la lune, par les nuits sans vent, c’est presque magique. + story of my life To : Helena Lewis From : Oliver Richmond
Comment va mon anglaise préférée ? Je sais, ça fait longtemps que je ne t'ai pas donné de nouvelles - en même temps ça vaut pour toi aussi - alors ce mail sort un peu de nulle part. Parce que rien n’est jamais vraiment secret, je viens te féliciter pour ton nouveau job. C’est providentiel que tu aies finalement décidé de quitter ce bureau sans fenêtre pour te consacrer à quelque chose d’un peu plus gratifiant. Il était temps que tu te rendes compte de ta valeur. J’espère que tu auras enfin l’occasion de finir le bouquin que tu as toujours rêvé d’écrire. Tiens moi au courant : dès qu’il paraît, je déboule par le premier avion pour le lancement. Sans vouloir me vanter, je suis canon en costard. Tu le sais mieux que personne.
Pour moi, rien de vraiment neuf sur le plan professionnel, si ce n’est que tout semble porter ses fruits désormais. Le restau marche bien, ça fait quelques années que je n’ai plus à me tracasser des critiques car je suis devenu un de ces connards d’intouchables que j’ai toujours prétendu détester. Et bien détrompe-toi ma belle, c’est assez plaisant comme statut. Toutes ces années embarrassantes d'entraînement - style les gens pensant que j'avais la tignasse pleine de pellicules alors que c'était de la farine qui tombait de mon front quand je secouais la tête – et bien toutes ces années ont fini par payer. Je sais ce que tu vas dire, "quand est-ce que tu te décideras à te couper les cheveux, tu ressembles de plus en plus au clochard de Gresham Street", et bien tu sais quoi ? Rien à fiche. On ne touche pas à La Glorieuse Crinière, c'est la règle. Tout ça pour dire que je n’ai pas à me plaindre de mon job, ça me laisse faire la grasse mat quand la veille a été compliquée, alors que demande le peuple ? C'est un rythme un peu fou, c'est sûr, mais ça vaut le coup, et puis je me régale tous les soirs avant d’aller poser mon fessier au bar pour boire quelques cocktails à l’œil : toujours se mettre ses collègues dans la poche, ça c'est un conseil qui t'emmènera loin. Plusieurs de mes recettes ont été publiées dans des magazines réputés, je sais ça n'a rien à voir concrètement mais je le précise au passage, des fois que tu penserais être la seule réussite de Queen Street.
Parfois, je me réveille, et Londres me manque. C’est léger, un petit pincement au cœur sans conséquence. Puis je vais jusque la terrasse, et observe l’océan se jeter à quelques mètres de la maison sous le soleil doré de la Californie et, va comprendre, la nostalgie passe en un clin d’œil.
Côté vie privée (parce que je suppose que tu t'en fous un peu de mon boulot, sauf si je t'envoie un kinilaw de thon rouge en pièce jointe) tout va plutôt bien, je suppose. Je partage mes journées et ma magnifique villa de bord de mer - dans laquelle tu es la bienvenue à venir séjourner dès que tu as envie de prendre des vacances de la grisaille, je te l’ai déjà suffisamment répété – avec trois individus, dont les caractères varient de personne la plus adorable du monde à vrai monstre de cruauté, d’une façon assez variée. Pas la peine de te faire un dessin, je sais que tu sais ce qui me travaille. J’ai essayé d’être subtil dans mon dernier mail, mais il faut croire que tu lis en moi comme dans un Cosmo ouvert. Je ne te la décris pas physiquement parce que je suis certain que ça fait bien longtemps que tu es allée checker son minois sur facebook, je te connais par cœur. Et tu as tout à fait raison. Elle est très déterminée, un peu tyrannique pour être honnête (ne va pas t'imaginer des scènes de menottes et de latex noir, je te parle de caprices et de scènes de violences domestiques grave) et si jusqu'ici je supportais bien ça avec mon "flegme à la Ollie" comme tu dis, je commence à en avoir ras la casquette. Je ne sais pas si ça va pouvoir durer cette colocation. Pas parce qu’elle fait de ma vie un enfer, ça, j’ai eu de l’entrainement en grandissant avec Arthur, c’est pas un problème. Mais parce qu’elle est dans mon radar tous les jours que Dieu fait et elle réveille des sensations que je n’ai plus connu depuis… Et bien, depuis toi. J’ai besoin d’aide, Len ! Je ne sais plus quoi faire. J’ai mal aux côtes dès qu’elle me lance un sourire mauvais, faussement méchant et j'ai l'impression d'avoir le rouge aux joues dès qu'elle m'adresse une parole qui n'est pas pur venin. Cette situation doit s’arrêter absolument, mais j’ai épuisé toutes mes ressources pour essayer de la faire décoller de la maison. Car, bien sûr, il est hors de question que je quitte la villa. C’est mon territoire au même titre que le sien, et puis si un jour te prend l’envie de répondre à mon offre et de venir profiter de la plage que je t’ai promise, je devrais bien te recevoir dans un endroit digne de ce nom. Mais tu sais, au fond, la vérité c’est que je ne sais pas m'imaginer vivre dans un autre endroit qu’elle. Et puis j'aime bien trop cette maison. T'y es d'ailleurs. Y a la photo de toi, moi et Adrienne du Thanksgiving sur le bateau accrochée par un aimant au frigo. En gros, ma tendance à vouloir ménager la chèvre et le chou va encore me coûter cher. Me laisser tomber amoureux de cette fille était probablement la décision la plus conne que j'ai jamais prise, ex-aequo avec le jour où j'ai voulu mettre du piment rouge dans un tiramisu.
Tu sais qu’on a plus de chance d’être tué par un bouchon de champagne que par un animal sauvage ? Cette info me paraissait importante pour toi, vu ta peur démesurée des ours et ton amour inconditionnel pour le Dom Perignon.
C’est le moment où j’avoue la raison de cet email, pas vrai ? Je vais arrêter de tourner autour du pot et en venir aux faits. J’ai besoin de toi, t’es la seule personne qui m’ait jamais donné des conseils utiles en matière de crise familiale, problématique que tu connais peut-être mieux que les sept milliards d’êtres humains autour de nous. Voilà : mon père m’a légué un pourcentage flippant de parts de la compagnie. Soudainement. Alors que tout le monde le croit sur le point de passer l’arme à gauche. Tu veux savoir la meilleure ? Juste ce qu’il me fallait d’actions pour avoir exactement le même poids que Arthur. Au pourcentage près. Je savais qu’il n’avait jamais eu la moindre considération pour moi, mais j’ignorais qu’il désirait également jeter son aîné dans la fosse aux lions. Parce que c’est ce qu’il a toujours représenté. A croire que mon dragon de mère le réfrénait, au final, parce qu’il est pire depuis qu’elle s’est barrée avec son prof de tennis – ô comble des clichés. Arthur, bloqué entre son besoin d’être parfait dans tous les aspects de sa vie pour répondre aux exigences de mon père, et sa fiancée qui est tout sauf compatible à ça. Dianna, qui est vue comme une telle paria par nos parents que je suis extrêmement fier d’elle. Et puis moi, qui n’ai absolument rien demandé, et qui suis menacé, ayant l’empire familial qui plane au dessus de ma tête comme une épée de Damoclès. Alors voilà, je m’en remets à toi. Je t’en supplie, dis-moi quoi faire. Et si ta réponse est ‘étouffer mon propre père avec un oreiller’, crois-moi, j’y ai pensé. J'ose pas penser aux conséquences si je décidais d'abandonner tout ça. Tu as été assistante d’un gérant de fortunes, tu dois avoir connu des cas de figures pareils. Si tu me dis quoi faire, je te promets de répondre à toutes tes questions tordues pour que tu puisses finir ton livre sur la corruption dans les milieux dorés. Qui mieux que moi pour témoigner ? J’en connais un rayon. Et surtout, j'ai plus rien à perdre.
T’es sûre que tu ne veux pas venir ? J’ai besoin d’un œil extérieur pour remettre de l’ordre dans ma vie. Je sais que t’aimes trop la pluie et les fish and chips pour quitter Londres, ne serait-ce que pour une semaine. Mais au moins, j’aurais essayé. M'oublie pas quand tu seras un auteur acclamé. Souviens toi de qui t’a fait gouter ton premier kinilaw.
Câlin d’outre-atlantique.
Ollie.----------♢----------- Spoiler:
prénom : Eva pseudo : Ivy âge : 19 y.o. pays : belgium où as-tu connu IIS ? via bazzart comment le trouves-tu ? fréquence de connexion : 5/7 en moyenne personnage inventé ou scénario : scénario de Juliet dernière petit mot : game on ! - Code:
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<taken>ben barnes</taken> + oliver richmond
Dernière édition par Oliver Richmond le Lun 18 Aoû - 22:41, édité 7 fois |
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